
© Getty Images
Ce 11 août 2011 à Manizales l’Espagne, sortie triomphante du Groupe C, partait favorite contre laRépublique de Corée qui avait accroché la troisième place du Groupe A. De fait, la Furia Roja prend le jeu en main. Daniel Pacheco combine avec Koke, ce dernier remettant en retrait pour son ailier gauche, dont le tir passait au-dessus (17’).
Cependant les Asiatiques n’ont pas l’intention de jouer les victimes expiatoires. Kim Young Uk envoie une belle frappe de l’entrée de la surface que Fernando Pacheco boxe difficilement (20’). Les Coréens, petit à petit, prennent confiance. Au contraire les Européens fonctionnent en contre. Sur l’un d’eux Rodrigo est bien servi dans l’axe. L’Hispano-brésilien enroule un petit tir intelligent, mais c’est juste à côté (26’).
Les deux formations sont maintenant dangereuses. Choi Sung Guen récupère une balle à 20 mètres mais sa frappe est de nouveau détournée par Fernando Pacheco (31’). Puis Cristian Tello s’essaie aussi au tir de loin, No Dong Geon montre qu’il n’est pas manchot (36’).
Pas de syndrome 2002
La pause ne change pas grand-chose au match, qui s’embourbe. Rodrigo adresse un joli tir à ras de terre, mais hors cadre (62’). Isco, entré en jeu, sert Tello par-dessus la défense, mais l’attaquant tergiverse et son tir est bloqué (78’). Koke obtient la dernière et la plus belle occasion du match : sa fusée partie de loin rase le poteau de No (86’).
Il faut en passer par la prolongation. Un tir trop enlevé de Lee Yong Jae (104’) ouvre les débats. Qui se transforment en monologue espagnol : un déboulé enchaîné par un tir à peine trop croisé d’Antonio Luna (112’), puis Isco prend sa chance des 20 mètres, No ne peut capter, Koke prend le rebond mais ne peut pousser le ballon au fond (114’). Alvaro Vazquez enroule un coup franc qui heurte le coin du but coréen (116’).
Rien n’y fait, tout se jouera aux tirs au but. A ce jeu-là, le sélectionneur des Guerriers Taeguk Lee Kwang Jong avait annoncé que ses garçons étaient forts. Mais contrairement au quart de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2002, la Furia Roja a tenu et renvoyé les Coréens à la maison. Les Espagnols rencontreront le vainqueur du match entre le Brésil et l'Arabie saoudite.(FIFA)
Cependant les Asiatiques n’ont pas l’intention de jouer les victimes expiatoires. Kim Young Uk envoie une belle frappe de l’entrée de la surface que Fernando Pacheco boxe difficilement (20’). Les Coréens, petit à petit, prennent confiance. Au contraire les Européens fonctionnent en contre. Sur l’un d’eux Rodrigo est bien servi dans l’axe. L’Hispano-brésilien enroule un petit tir intelligent, mais c’est juste à côté (26’).
Les deux formations sont maintenant dangereuses. Choi Sung Guen récupère une balle à 20 mètres mais sa frappe est de nouveau détournée par Fernando Pacheco (31’). Puis Cristian Tello s’essaie aussi au tir de loin, No Dong Geon montre qu’il n’est pas manchot (36’).
Pas de syndrome 2002
La pause ne change pas grand-chose au match, qui s’embourbe. Rodrigo adresse un joli tir à ras de terre, mais hors cadre (62’). Isco, entré en jeu, sert Tello par-dessus la défense, mais l’attaquant tergiverse et son tir est bloqué (78’). Koke obtient la dernière et la plus belle occasion du match : sa fusée partie de loin rase le poteau de No (86’).
Il faut en passer par la prolongation. Un tir trop enlevé de Lee Yong Jae (104’) ouvre les débats. Qui se transforment en monologue espagnol : un déboulé enchaîné par un tir à peine trop croisé d’Antonio Luna (112’), puis Isco prend sa chance des 20 mètres, No ne peut capter, Koke prend le rebond mais ne peut pousser le ballon au fond (114’). Alvaro Vazquez enroule un coup franc qui heurte le coin du but coréen (116’).
Rien n’y fait, tout se jouera aux tirs au but. A ce jeu-là, le sélectionneur des Guerriers Taeguk Lee Kwang Jong avait annoncé que ses garçons étaient forts. Mais contrairement au quart de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2002, la Furia Roja a tenu et renvoyé les Coréens à la maison. Les Espagnols rencontreront le vainqueur du match entre le Brésil et l'Arabie saoudite.(FIFA)
ILS ONT PU EFFACER L'HUMILIATION DE 2002.
RépondreSupprimer