Au Campin de Bogota, le pays hôte joue ce 13 août un quart de finale contre des Mexicains à la fois techniques et accrocheurs. Poussés par un public toujours plus chaud, et ce malgré une température ambiante bien fraîche, les Cafeteros démarrent en trombe. Luis Muriel ouvre les hostilités. Il tire deux fois des 16 mètres : le premier enroulé est détourné en corner (8’), le deuxième en force passe un poil au-dessus (20’).
Michael Ortega sert ensuite parfaitement Hector Quinones à gauche, le centre dangereux du défenseur du Deportivo Cali ne trouve personne (24’). Muriel tente cette fois dans un angle fermé, mais il croise trop (25’).
La domination locale est sans partage. Mais la finition laisse à désirer. Comme cette tête de Luciano Ospina au point de penalty sur un coup franc de James Rodriguez, hors cadre (28’). Où ce tir au-dessus de Quinones, servi par une talonnade d’un bouillant Muriel (29’).
A l’instar de la fable de La Fontaine, les Mexicains jouent les tortues : rien ne sert de courir, il faut finir à point. Sur leur première incursion, les Tricolores obtiennent un coup franc. Le cuir arrive au point de penalty, où c’est la foire d’empoigne. Cuneyt Cakir désigne le point de penalty, Erick Torres fait taire le Campin (1:0, 38’).
Dans la foulée, la Tri tente de finir le travail. Ulises Davila est visiblement un adepte des sports d’hiver : il s’offre un slalom de 70 mètres qu’il termine par un joli planté de bâton en forme de tir enroulé, mais Cristian Bonilla se détend bien (41’).
Merci José Rodriguez
Au retour des vestiaires, on s’attend à une marée jaune. Mais les garçons d’Eduardo Lara semblent un peu perdus. Les Mexicains essaient d’en profiter, mais le tir de Diego De Buen de 25 mètres passe au-dessus. A ce moment du match, le bateau colombien tangue.
Le puissant Duvan Zapata, héros contre le Costa Rica et titularisé ce soir à la place de Jose Valencia, va se charger de calmer la houle. Sur un contre, il envoie une grosse frappe des 25 mètres. Rodriguez est sur la trajectoire mais le pauvre portier s’emmêle les crayons et le cuir passe entre ses jambes (1:1, 60’).
La furia colombienne devrait alors démarrer, mais il y a des ratés dans le moteur. Or les Centraméricains ne sont pas les premiers venus. Ils repassent devant sur un corner qu’Edson Rivera catapulte dans les buts (2:1, 69’). Les locaux jouent à réaction. Un tir d’Ortega est trop croisé (72’), un coup franc de Rodriguez trop enroulé (74’), une aile de pigeon de Muriel trop imprécise (82’).
Michael Ortega sert ensuite parfaitement Hector Quinones à gauche, le centre dangereux du défenseur du Deportivo Cali ne trouve personne (24’). Muriel tente cette fois dans un angle fermé, mais il croise trop (25’).
La domination locale est sans partage. Mais la finition laisse à désirer. Comme cette tête de Luciano Ospina au point de penalty sur un coup franc de James Rodriguez, hors cadre (28’). Où ce tir au-dessus de Quinones, servi par une talonnade d’un bouillant Muriel (29’).
A l’instar de la fable de La Fontaine, les Mexicains jouent les tortues : rien ne sert de courir, il faut finir à point. Sur leur première incursion, les Tricolores obtiennent un coup franc. Le cuir arrive au point de penalty, où c’est la foire d’empoigne. Cuneyt Cakir désigne le point de penalty, Erick Torres fait taire le Campin (1:0, 38’).
Dans la foulée, la Tri tente de finir le travail. Ulises Davila est visiblement un adepte des sports d’hiver : il s’offre un slalom de 70 mètres qu’il termine par un joli planté de bâton en forme de tir enroulé, mais Cristian Bonilla se détend bien (41’).
Merci José Rodriguez
Au retour des vestiaires, on s’attend à une marée jaune. Mais les garçons d’Eduardo Lara semblent un peu perdus. Les Mexicains essaient d’en profiter, mais le tir de Diego De Buen de 25 mètres passe au-dessus. A ce moment du match, le bateau colombien tangue.
Le puissant Duvan Zapata, héros contre le Costa Rica et titularisé ce soir à la place de Jose Valencia, va se charger de calmer la houle. Sur un contre, il envoie une grosse frappe des 25 mètres. Rodriguez est sur la trajectoire mais le pauvre portier s’emmêle les crayons et le cuir passe entre ses jambes (1:1, 60’).
La furia colombienne devrait alors démarrer, mais il y a des ratés dans le moteur. Or les Centraméricains ne sont pas les premiers venus. Ils repassent devant sur un corner qu’Edson Rivera catapulte dans les buts (2:1, 69’). Les locaux jouent à réaction. Un tir d’Ortega est trop croisé (72’), un coup franc de Rodriguez trop enroulé (74’), une aile de pigeon de Muriel trop imprécise (82’).
Le public et même tout le peuple colombien poussent derrière leurs Cafeteros, mais rien n'y fait. Rivera achève même les derniers espoirs dans un silence de cathédrale sur un contre rondement mené (3:1, 88'). Les Mexicains créent la première grosse sensation du tournoi et rencontreront en quart le vainqueur de Brésil - Espagne. (FIFA)
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